Je viens de débloquer l'écriture grâce à Satie.
J'aurais dû y penser plus tôt. J'était bloquée là où le chien se fait tuer. Comment écrire le meurtre du chien autrement qu'en écoutant les gnossiennes ?
C'est le meurtre qui donnera tout, le crime originel de ce que j'essaie de décrire. Et les circonvolutions de l'esprit meurtrier sont dans le piano de Satie.
Quelques notes et tout s'éclaire.
Je finirai cette pièce.
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